La situation d’instabilité qui prévaut à la république Bolivarienne continue d’inquiéter des pays et organisations de la région.
Ce jeudi, le député de Delmas Gary Bodeau, président de la chambre des députés,a dans un tweet, « invité les protagonistes à emprunter la voie du dialogue. Il y va de l’intérêt suprême et du bien-être du pays », a-t-il écrit.
De son côté, le Secrétaire Général des Nations-Unies, Antonio Guterres a lui aussi abondé dans le même sens. Dans un tweet, il dit opter pour un dialogue politique inclusif et crédible pour éviter un désastre.
Parallèlement, les États-Unis et leurs alliés dont le Canada, le Brésil et l’Organisation des États Américains, maintiennent mordicus leur position. Leur soutien au président autoproclamé Juan Guaido est maintenu. En revanche, le régime de Maduro n’est pas livré à lui-même. Il continue de bénéficier de l’appui inconditionnel de la Russie, la Chine, Cuba et le Mexique pour ne citer que ceux-là.
Les déclarations de Donald Trump disant que toutes les options sont sur la table, peuvent être considérées comme une manière d’annoncer une intervention militaire au pays.
Avec l’ampleur que prend la crise, presque toutes les conditions sont réunies pour un éclatement.