Condamné à neuf ans de prison par la justice italienne pour viol en réunion sur une jeune Albanaise âgée de 22 ans, le brésilien sort de son silence et a posté sur son compte Instagram la parole de son avocat.
«Sur les informations impliquant l’attaquant Robinho dans un incident survenu il y a quelques années, nous avons déjà précisé qu’il s’était défendu contre ces accusations, et a affirmé n’avoir aucunement participé à cet épisode. Toutes les mesures légales sont déjà prises sur cette décision de première instance.»
Il faut souligner que Robinho peut se calmer un peu parce qu’il peut sortir de cette affaire, puisque le site brésilien Globoesporte rappelle que la star brésilienne a trois ans pour faire appel, pour l’instant le présumé coupable est libre de ses mouvements. Le site continu pour dire que la justice italienne n’a aucune valeur au Brésil, qui n’autorise l’extradition des brésiliens que dans des cas très précis.
L’avocat Dorival Guimaraes ajoute : Pour être extradé, le coupable doit avoir commis un crime grave tel un génocide, un crime contre le pays ou le président.
Né un 25 janvier 1984, Robinho évolue actuellement à l’Atletico Miniero où son contrat va s’achever en décembre prochain. Jusqu’où va aller ce fameux dossier ? La justice dira le reste.
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