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La Présidence et la Primature rendent hommage à l’agent de l’UTAG tombé à Mirebalais et réaffirment leur engagement dans la lutte contre l’insécurité
La nation haïtienne est en deuil après la mort tragique de l’agent Garry Lyma, membre de l’Unité Tactique Anti-Gang (UTAG), survenue lors d’un violent affrontement avec des gangs lourdement armés à Mirebalais. Ce drame a suscité une vive émotion au sein des plus hautes autorités du pays, qui ont unanimement salué le courage et le sacrifice de ce valeureux policier.
Dans une note publiée ce mardi, le Bureau de Communication de la Présidence a exprimé sa profonde tristesse et son immense respect face à cette perte douloureuse. Le Conseil Présidentiel de Transition (CPT) s’est incliné devant la mémoire de l’agent Lyma, saluant son courage exemplaire dans l’exercice de ses fonctions alors qu’il défendait la vie et la sécurité de la population.
« Ce drame nous rappelle le prix élevé que paient nos forces de l’ordre dans la lutte quotidienne contre l’insécurité et le banditisme », peut-on lire dans la note de la Présidence, qui renouvelle son engagement à soutenir les institutions sécuritaires et à mobiliser toutes les ressources nécessaires pour renforcer la lutte contre l’insécurité à l’échelle nationale.
De son côté, le Premier ministre, Chef du Gouvernement et Président du Conseil Supérieur de la Police Nationale (CSPN), a rendu un hommage solennel à Garry Lyma. « Tombé en héros pour la sécurité de ses concitoyens, il incarne le sacrifice, la bravoure et l’abnégation des gardiens de la paix », a souligné le chef du gouvernement.
Le Premier ministre a également exprimé, au nom de l’État, ses plus sincères condoléances à la famille de l’agent Lyma, à ses frères d’armes de l’UTAG ainsi qu’à l’ensemble de l’institution policière, réaffirmant son soutien indéfectible à la Police Nationale d’Haïti (PNH) dans son combat contre la criminalité.
Alors que le pays continue de faire face à une montée inquiétante de l’insécurité, la disparition de l’agent Lyma vient rappeler les défis auxquels sont confrontées les forces de l’ordre, mais aussi la nécessité de les appuyer, tant sur le plan humain que logistique, dans leur mission de protection de la population.
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