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Les Haïtiens immigrés en RD ne sont pas une menace pour la population Dominicaine selon l’INMRD

Les Haïtiens immigrés en RD ne sont pas une menace pour la population Dominicaine, confirme une étude

Une étude publiée par l’Institut national des migrations de la République dominicaine (INMRD) confirme que l’immigration haïtienne ne constitue pas une menace pour la communauté dominicaine.

Cette Étude a été réalisée sur les courants d’immigration d’origine extra-insulaire et l’intégration sociale et économique des immigrés des principales communautés ethno-nationales par le spécialiste des sciences sociales dominicaines Francisco Cáceres, un démographe renommé avec une vaste expérience dans les études sur les migrations; Franc Báez Evertsz, autorité reconnue dans l’étude de la migration, décédé en 2016, et également démographe et statisticien César Andrés Caamaño.

De même, ils établissent clairement la logique non conflictuelle de l’accueil et de l’intégration des immigrés, tout en révélant comment la nation dominicaine enrichit sa culture, étend ses capacités technologiques et son potentiel entrepreneurial en accueillant la diversité des citoyens du monde qui ont décidé de lier leur destin au dominicain, a déclaré le Dr Wilfredo Lozano, directeur exécutif de l’INM RD, qui était en charge de la présentation des travaux.

L’étude est un recueil de la caractérisation migratoire en vingt et un ans (1981-2002) de l’immigration extra-insulaire, qui permet de remplir un espace important dans la littérature spécialisée avec une méthodologie innovante combinant l’analyse empirique des informations statistiques existantes, mais aussi celle produite par une enquête spécialisée appliquée dans ce cas aux immigrés non haïtiens qui sont entrés dans le pays ces dernières années (2006-2008).

Dans les données trouvées, on estime qu’en 2002, il a été révélé que les plus gros contingents d’étrangers résidents non haïtiens venaient du Venezuela (4730), des États-Unis (3012), de Porto Rico (2897), d’Espagne (2430) et d’Italie. (2 300), Cuba (2 255), l’Allemagne (1 680), la Colombie (1 552), la Chine (1 192) et la France (834). En 1981, à l’exception du Mexique, du Japon et de l’Angleterre, ces nationalités constituaient les groupes de population étrangère non insulaire les plus importants en République dominicaine. Lors de la mise à jour de ces résultats, les auteurs n’excluent pas la création d’un second volume qui étend le comportement de ces groupes.

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