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Le pasteur Jean Ferret MICHEL a été enlevé sur ordre du ministre de l’Intérieur et des Collectivités Territoriales, Liszt QUITEL, selon le RNDDH
Le Réseau National de Défense de Droits Humains (RNDDH) a envoyé une lettre au directeur central de la police judiciaire, Frédéric Leconte, le 21 octobre 2021 pour lui faire part des détails en lien avec l’enlèvement suivi de séquestration contre rançon du pasteur Jean Ferret Michel, en date du 3 octobre. Le RNDDH révèle que cet enlèvement est un acte de vengeance du ministre de l’Intérieur et des Collectivités Territoriales, Liszt Quitel qui aurait été cocu.
Le RNDDH qui se fie à ses sources rencontrées, affirme que l’enlèvement du pasteur Jean Ferret Michel constitue en fait un acte de vengeance. Selon le RNDDH, l’homme d’église a été enlevé sur ordre du ministre de l’Intérieur et des Collectivités Territoriales, Liszt QUITEL, qui fait également office de ministre de la Justice et de la Sécurité Publique depuis la révocation de son prédécesseur.
Le ministre Liszt Quitel, selon le RNDDH, reproche au pasteur d’avoir entretenu une relation amoureuse avec son épouse, la dame Barbara Quitel, alias Barbie alors que les couples Quitel et Michel se fréquentaient régulièrement.
« La relation entre le pasteur Jean Ferret Michel et Barbara Quitel alias Barbie a d’ailleurs occasionné plusieurs scandales par le passé. Cependant, depuis quelque temps, le pasteur avait mis fin à cette relation », a rapporté l’institution qui mentionne qu’en dépit de la décision du pasteur, le ministre de l’Intérieur et des Collectivités territoriales, Liszt Quitel, avait fait savoir autour de lui qu’il lui ferait payer cet impair.
Ainsi, selon ce qui a été rapporté au RNDDH avant et après l’enlèvement, des rumeurs circulaient autour de la préparation e la perpétration de cet acte barbare.
Le RNDDH estime que, la dame Barbara Quitel alias Barbie est en mesure d’aider la Direction Centrale de la Police Judicinire (DCPI) dans son enquête autour de ce dossier. En ce sens, il recommande vivement au directeur de la DCPJ d’auditionner la dame Barbara Quitel alias Barbie, en vue de libérer les victimes et de mettre aux arrêts tous ceux qui ont participé à cet acte révoltant.